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Onction’l Pelosi au Congrès américain : Est-ce Trop Tard ?

DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • Onction’l Pelosi au Congrès américain : Est-ce Trop Tard ?

Entre (). Que détient le Russe du savoir de Snowden au point de piétiner la pointure de ce fameux Donald J  Trump : trahison ou délit d’initié ? Fermons les () 

Quand j’ai publié l’Option Pelosi en ce qui concernait Barack Obama, cela a évidemment défait et rangé des rides chez la critique. Je la voyais déjà en valeur sûre au point de revenir l’an dernier sur le sujet avec La Revanche Pelosi au Congrès américain. Histoire et histoire rééditée, elle devient l’unique femme américaine à ce jour, avec une double séniorité, au siège de Mr. Speaker aux grands pouvoirs. En Haïti l’État en a rêvé, mais ils sont restés nains. 

Le départ prévu de Ryan. Ce n’est pas une anecdote, mais un échec lamentable que nous laisse Paul Davis Ryan en héritage avec un instable chronique de président. Howard Hughes au moins se faisait soigner de sa paranoïa. Hollywood a anticipé sur la trahison de Donald J Trump, parlez-en à C Powell il en acquiescera depuis son ouvrage sur sa carrière. P Ryan a ici  égaré le Congrès, et le républicain aura du mal à s’en remettre de la notion des 12H71. 

Donald entre deux murs des oreilles de Trump. Vieux grincheux, Donald J Trump doit sitôt s’y faire avec sa chute vertigineuse, car les cordons se délient dans un cadre où le maniaque dépressif en lui veut défaire la matrice US afin de régler ses dettes personnelles en mentant d’abord : ‘le Mexique va payer le mur’. Ensuite, en mettant chaque jour le gouvernement, l’État, Jo l’expert à risque, économiquement, spécifiquement, ce au bon plaisir, semble-t-il, de Mike Pence vice-président séparé de lui du même mur très bas, pour ses (100) LLC comptées.

L’Amérique est devenue la risée de Pékin dans les faits parce que Donald Trump a expliqué son amour pour la méthode Kim allant à l’encontre du principe sacré américain qui protège et rassure. Il ne nous restera qu’à souhaiter sur le combien de temps encore avant la maladie de Howard Hughes. Nous sommes à risque et Nancy Pelosi devra exercer ses talents au plus haut sommet afin d’apporter une onction confortable au pays. Ce n’est plus le temps des mamours ni des caresses de pornographes, il faut stopper l’hémorragie. Car, croyons-le ou pas, ce sera la folie à la frontière canadienne sous peu comme principe de la peur chez l’Américain qui représenta la garantie du globe, son audace aussi. Le mur est de la schizophrénie ambulatoire. 

Pence. Il revient au vice-président Mike Pence de se démontrer à la hauteur pendant, pour se confirmer, pour l’après-Trump. Nous voulons croire que Pelosi est ouverte à l’éventualité si le président démissionnait de lui-même. Je crois que, même si l’ancien président Clinton n’est en soit la face angélique de l’abbaye, mais il est le mieux placé pour faire comprendre au président Donald Trump que l’Amérique ne peut pas être le symbole de sa folie qui consiste à dépouiller l’État de ses ressources savantes, de les humilier, et de ce fait créer un vide infernal pour les générations subséquentes. Donald n’a qu’à aller vivre en Russie s’il le désire, mais l’Amérique ne peut être mise à genoux à ses pieds tandis qu’il détruit le schème d’expertise qui a toujours fait la grandeur de cette Amérique, comme si c’était l’étrange étranger révélé ancien drogué que soit Michel Martelly qui dirigeait de ses humeurs volatiles de bas standard, une république longtemps mise à genoux. Je le réitère : le modèle Martelly n’est pas une valeur pour l’Amérique, car c’est la triste réalité de la pensée Trump, si l’on ose l’expression. Donald Trump irait s’en vanter par la suite pour se moquer des autres idiots qui l’auraient laissé faire, et les défections à la Snowden ne feraient que commencer. Mike Pence devrait s’appuyer sur l’expertise de Bill Clinton pour arriver à obtenir la démission écrite et explicite de Donald J Trump, même si cela devrait nous coûter un grand pardon. Nancy Pelosi dans les critères de ce que j’éprouvais comme l’Option Pelosi pour B Obama comprendrait facilement les devoirs par la suite. Sinon, Mike Pence devra comprendre que la bourrasque éberluée de Donald J Trump incapable de sauver sa propre famille du scandale tandis qu’il croyait se l’offrir en vocation est une illusion pour le moine franciscain borgne. On fouillera d’Ecolab Corporate Center, en passant par Trump Flowers allant à 1090060, TRUMP TOWER jusqu’à Trump ; Reg no. 4890050  A l’infini, on trouvera ce que de droit la semaine prochaine.

Mike Pence ne devra alors s’étonner dans sa lassitude si Pelosi doit passer outre son apport. La triste réalité de la présidence est devenue lamentable pour le jeune espoir. Noir ou Blanc, celui-ci déçut du serment d’ivrogne de Donald Trump : ‘make America great again’.

  • Le président russe Vladimir Poutine est plus crédible à ses yeux que tout américain défendant son pays, y compris le haut fonctionnaire formé pour garantir la patrie.
  • Les valeurs de Kim -un sont meilleures à ses yeux, que les valeurs américaines.
  • Il perçoit le journaliste accrédité comme son ennemi, menteur à ses yeux tandis qu’il couronnait de gloire ceux qui critiquaient le démocrate de l’administration précédente.
  • L’Uni-du-deal a non seulement échoué, mais a dû remettre ô combien de fonds aux récipiendaires afin d’étouffer le scandale de l’échec et du mensonge élaboré en cursus.
  • Le candidat a menacé sa rivale de la mettre en prison, une fois élu, mais développe son influence malsaine dans les mêmes faits reprochés, avec sa fille Ivanka (PH-2869).
  • La dévalorisation publique de ceux qu’il considérait comme génie parmi ses proches collaborateurs choisis, mais devenus ses bêtes noires, est le signe de son ego-vitalité.
  • Le président a exacerbé une partie de la population en attaquant même les sportifs.
  • Le président dit quitter la Syrie, l’Afghanistan pour avoir vaincu ISIS, mais sa requête personnelle trompeuse contre le gré à gré de l’administration précédente dément son verbe, car l’Iran si elle est une menace, il est envahissant en Syrie et menaçant pour Israël, car Bachar est réputé être criminel. La ligne rouge dépassée.
  • La continuité de l’État est menacée avec un président qui non seulement sur une base de racisme avéré avait juré aux partisans républicains de l’époque, de faire stopper d’abord, échouer, ensuite, et faire tomber en final, le candidat jusqu’au président en partant sur une négation de sa nationalité américaine, laquelle il détruit. Le dossier de la santé, celui de Cuba comme de l’Iran, etc., en sont des preuves.
  • Le président a taclé publiquement les transnationales, mais Trump opère à mx, cl, ph…

Pourquoi Pelosi est-elle ce souffle nouveau désormais vital ? Elle ne peut avoir d’autre projet politique ni de mandat récurrent que de servir son pays aujourd’hui. C’est en soi une forme de garantie que son héritage définitif est un impératif pour elle, maintenant pour l’histoire. Laquelle histoire d’ailleurs il faut le redire, fait d’elle une exception dans la vie politique des US hors de tout doute, car nulle autre femme n’a encore eu ce privilège placé à ce niveau, cela en reprise victorieuse. Son mandat a certainement plus de valeur représentative que celui d’un président gâteux qui se prend pour Pic de la Mirandole au détriment de la patrie qui lui a permis de faire fortune. DNC et GOP n’auront encore de cette certitude soit à court terme, soit à long terme. Il ne suffit pas de vouloir la présidence pour générer des profits pour les US. Nous ne pouvons nier le pire, la présidence de Donald Trump réintroduit dangereusement des notions qui ressemblent au comportement du défunt Adolphe Hitler dans son Mein Kampf. Pourquoi P Ryan ne l’a pas stoppé fait partie du passé, le temps est à l’avenir. Lequel avenir réclame des actions face à la dérive avérée. Le GOP lui-même n’a pas la garantie avec un président Trump qui s’avère plus corrosif que de se révéler nocif avec ses propres conseillers. Pelosi en ce sens devra protéger les US en accéléré au prix de douleurs, car, plus tard sera trop tard. Les US seront plus prospères sans Donald J Trump, président. L’économie médiatique fera vibrer le PNB plus d’un temps avec l’histoire qui attirera le chercheur global. Trump ad nauseam, sera au demeurant viral pour le reste du monde avec ses nouveaux dictateurs. Donald J. Trump en ce sens aura vivement déçu, mais Pelosi aura sauvé.


cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur édition du 9 janvier 2019 et se trouve en P. 14 à : http://haiti-observateur.ca/wp-content/uploads/2019/01/H-O-9-janv-2019.pdf

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